Seraph of the End / Owari no Seraph

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Posté dans : Manga & BD

  • Akiko_12
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    Akiko_12 le #347788

    Je suis tombée dans la potion Seraph of the End (en VO Owari no Seraph, alias OwaSera) au printemps dernier avec l’anime, puis je suis passée sur la version papier. Au début, je me demandais où cette histoire allait nous mener. Mais assez vite, je suis clairement devenue accro !!!

    En résumé, pour ceux qui ne connaîtraient pas encore, un virus a décimé les humains âgés de plus de treize ans. Les vampires règnent désormais sur le monde et élèvent les enfants dans des cités souterraines. Notre héros, Yûichirô, parvient à s’échapper de l’une d’elles, au prix du sacrifice de son meilleur ami Mika. Il décide alors de vivre pour la vengeance… ignorant que Mika a survécu, changé en suceur de sang !

    Il y a du X de CLAMP dans l’ambiance fin du monde, les décors très détaillés de ruines urbaines, les références ésotériques, le travail sur la psychologie des personnages. Il y a aussi du D.Gray-man dans la façon dont les cartes se brouillent peu à peu entre les différentes forces en œuvre, l’armée impériale (humaine) se révélant moins recommandable que prévu !

    L’univers est truffé de mystères. De plus, l’histoire devient de plus en plus imprévisible, si bien qu’à partir d’un certain stade, il devient carrément inutile d’essayer de prédire la suite ! Tout le monde semble manipuler le héros, si bien que je suis devenue hyper parano (je n’ai confiance qu’en Mika 😆 ).
    Les personnages sont très attachants. Yû, de prime abord fonceur et arrogant, dévoile peu à peu un visage sensible et mignon. Mika est une formidable réussite tant il est complexe, tout en paradoxes ! Je mentionnerai aussi l’énigmatique Guren, le trognon Yôichi, la froide Shinoa, la charismatique Krul Tepes… Plus on avance, plus chaque personnalité se révèle, s’approfondit, évolue.
    Enfin, l’action n’est pas reste, avec un rythme trépidant ! si bien que chaque tome est très vite englouti.

    Bref, je recommande chaudement la lecture d’OwaSera, d’autant que le manga est bien plus dynamique que l’anime ! Même si celui-ci ne démérite pas, surtout la saison 2 (c’est du WIT studio après tout, décors somptueux et musique de Hiroyuki Sawano ! *_*).

    Sur ce, passons aux choses sérieuses : qui ici suit cet excellent titre ?
    Pour ma part, j’attends chaque sortie FR avec impatience (le manga est édité chez Kana). Cependant, le suspense était tel que j’ai basculé sur la VO il y a bien longtemps. Je ne pouvais plus tenir le suspense, et les sorties anime sur Wakanim me frustraient encore plus !
    Donc, si vous voulez discuter des derniers tomes parus en France, ou bien des derniers chapitres sortis au Japon, ce topic est là pour ça. 😉

    J’attaque en vous prévenant, spoil chapitre 43 (dernier sorti) :

    Spoiler
    Ça fait tellement plaisir de voir Yû et Mika réunis ! Cependant, je ne sais pas vous, mais perso je suis très inquiète pour la suite. Déjà, je ne peux pas sentir Guren depuis le début, donc l’obsession de Yû d’aller le sauver ne m’inspire rien de bon.
    Les avis de Mika sur “les humains” semblent un peu trop tranchés, voire irritants. Mais là aussi, même si son comportement peut parfois paraître too much, motivé par de la jalousie envers la “nouvelle famille” de Yû, un esprit de possession ou des préjugés, je ne peux m’empêcher de penser qu’il dit certainement vrai. Les vampires ne sont pas censés avoir des désirs, même s’il n’est pas tout à fait vampire (il a aussi le gêne du Séraphin de la Fin). Il a déjà montré son sens extrême du sacrifice et son abnégation plus d’une fois, donc je pense qu’il est vraiment le seul à agir pour l’intérêt de Yû, de façon désintéressée, non égoïste, juste par amour. Et cette notion de “famille” martelée par Guren, le fait que dès le début, le lieutenant-colonel insistait pour que Yû s’attache à des amis me laisse penser que ce “contrôle par les sentiments” est une manière pour lui de garder le Séraphin de la Fin sous le coude.

    Regardons deux secondes ce qu’il arrive à Mika dans le chapitre où il récupère Yû et manque de se faire tuer par Shinya. Dans un premier temps, Yôichi (très pur dans son intention) se jette sur Mika en lui disant que s’il fait partie de la famille de Yû, il fait aussi partie de la sienne (il l’appelle même affectueusement Mika-kun). Résultat : Mika est troublé deux secondes… un intervalle suffisant pour que Shinya l’empale dans le dos en clamant “félicitations Yôichi”. Alors, même si les compagnons de Yû sont sincères, ne sont-ils pas de simples jouets dans les mains de l’armée pour le manipuler ? De plus, Shinoa semble en savoir plus que ce qu’elle ne dit. Il n’y a qu’à voir la façon dont elle change de conversation plutôt que d’infirmer (par le mensonge ?) les accusations de Mika…
    A bien y réfléchir, je trouve sain que notre jeune vampire garde une certaine méfiance envers les compagnons de Yû. J’espère même qu’il conservera cet état d’esprit car grâce à ce détachement, il peut analyser les situations avec plus de clairvoyance.

    La fin de l’anime nous montrait l’arrivée des géniteurs au Japon et le départ des héros pour Sanguinem : un beau bazar en perspective ! Déjà, l’armée impériale domine apparemment le pays, et ça a l’air craignos, en fait. Je ne comprends pas encore le jeu de Ferid, donc je n’en parlerai pas. Nous avons la menace de devenir entièrement démon qui plane sur la tête de Yû. Enfin, nous savons depuis le début que Mika est aussi porteur du gêne du Séraphin. L’éventualité qu’il s’éveille est de plus en plus probable ! Le pire serait qu’il tombe aux mains de l’armée et qu’ils le “finalisent” avec leurs expériences. Bref, comme il le voulait depuis le début, je pense que la meilleure option (même si c’était effectivement pas la plus mature), c’était que lui et Yû fuient loin de tout ça. Se jeter dans la gueule du loup en retournant à Sanguinem, aïe aïe aïe !

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    Et vivement la suite. 😉

    Xanatos
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    Xanatos le #348884

    Je ne suis pas cette série, néanmoins, je connais son histoire, ayant lu des critiques de l’animé, et, effectivement, la série semble très intéressante.

    Donc, selon toi le manga vaut davantage le coup que la série animée ?

    Et il est toujours en cours de publication au Japon si je comprends bien ?

    Il est sorti chez Kana ?

    Cela devrait aller, ils soignent généralement l’édition de leurs manga (je suis très satisfait de mes éditions de Détective Conan, Saint Seiya, Slam Dunk, Monster, Master Keaton…)

    En tout cas, j’aime bien le graphisme qui rappelle agréablement Pandora Hearts. 🙂

    La série compte combien de tomes pour le moment ?

    Akiko_12
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    Akiko_12 le #348946

    Tiens, c’est vrai que les artworks rappellent un peu Pandora Hearts. 😉
    Le dessin à l’intérieur est cependant bien différent ! Tout en étant aussi agréable, clair et très efficace, notamment dans les scènes d’action. La similitude avec PH, je la verrais plutôt dans les nombreux mystères entourant le virus de l’Apocalypse, les vampires et les démons, ainsi que le Séraphin de la Fin.

    Le manga est effectivement publié en France par Kana, le tome 6 étant prévu pour le 22 avril (et hop je mets une image, parce que j’aime bien Krul Tepes – par contre la francisation de son prénom en “Kululu”, c’est mignon mais ça fait moyennement crédible pour une reine ^^°).

    Kana a également sorti un starter pack en janvier pour les retardataires, avec les trois premiers tomes à 13,70 euros. Un bon moyen de se lancer !
    Au Japon, nous en sommes actuellement au tome 10, avec un nouveau chapitre publié chaque mois.

    Concernant la différence manga/anime, je préfère en effet le manga, mais les deux sont complémentaires. La réalisation de l’anime est de bonne qualité, les musiques superbes, l’animation jolie avec des envolées comme dans le remarquable épisode 21 (le 22 est tout aussi beau, dans l’émotion cette fois).

    A mon sens, la saison 1 a néanmoins un problème de rythme, ce qui n’apparait pas dans la version papier. L’adaptation étant très proche de la sortie manga, on sent que l’on a cherché à étirer la première partie. Les 12 premiers épisodes adaptent ainsi les 4 premiers tomes, tandis que les 12 suivants en couvrent 6 (voire plus !). L’épisode 24 est carrément sorti avant le chapitre correspondant dans le manga. On se demandait du coup si cette fin était canon, ou si c’était un filler ! L’auteur avait sans doute communiqué le plan de son scénario au staff de l’anime, si bien que malgré quelques différences dans les détails, ils sont parvenus à rester fidèles.
    L’anime s’est fini fin décembre/début janvier, et il est d’ailleurs encore en avance par rapport au manga. Sa conclusion nous présente une scène se déroulant trois mois plus tard, or, on n’y est pas encore arrivés dans la version papier prépubliée.

    Pour ma part, j’ai pas mal été frustrée par l’anime saison 1, mais c’est sans doute en partie à cause du rythme du simulcast Wakanim (20 minutes par semaine, c’est toujours trop peu 😉 ). Je pense tout me refaire un de ces quatre à la suite ; peut-être que je ne sentirai pas autant cette impression d’étirement ?

    Il faut dire que – et je dois le souligner – la première partie de l’anime, tout comme le début du manga, sont sympa, sans être absolument convaincants. Le scénario ressemble à un patchwork d’éléments connus, le héros parait très cliché (fonceur, rude, en boucle sur son idée de vengeance). On se demande parfois où l’on va, surtout au deuxième chapitre lorsqu’après un début magistral, on a l’impression de plonger dans un manga de lycée avec des défis un peu idiots (“fais-toi un ami et je t’autoriserai à rejoindre l’armée”… mouais).
    Et puis, à partir du superbe (et intense !) tome 4, l’histoire emballe vraiment. L’auteur joue avec les clichés pour nous déstabiliser. Surtout, on commence à comprendre qu’en fait, on se fait troller probablement depuis le début, à l’instar du héros. A mon stade, je me demande si même cette histoire banale d’ami ne cachait pas une manipulation !
    Les personnages gagnent énormément en profondeur, en particulier le héros dont l’attitude caricaturale du début n’était qu’une façade de protection (en vérité, il est profondément sensible et gentil).

    Bref, OwaSera est sympa au début, super sur la longueur. Le récit est bien maîtrisé car le manga bénéficie du travail de trois personnes : un storyboarder, un dessinateur et un auteur. Takaya Kagami se concentre donc exclusivement sur son univers, or le manga Owari no Seraph n’est qu’une partie de son iceberg. En parallèle de sa sortie, il a aussi écrit une série de light novel centrée sur le personnage de Guren et sur la catastrophe du virus, puis, plus récemment, sur Mika et les origines des vampires.

    Akiko_12
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    Akiko_12 le #527671

    Dans la catégorie « je suis la seule à suivre », j’aimerais dire un mot d’Owari no Seraph. C’est juste ma passion n°1 depuis quoi, six ans ? Chaque mois, j’attends avec impatience la scanlation en anglais de la Shueisha (sur le site Mangaplus, une mine d’or). Je compte même les heures parfois, c’est terrible. Heureusement que je fais ça uniquement pour ce titre, sinon je deviendrais folle ! 😆

    L’univers bâti par Kagami est assez titanesque. Rendez-vous compte : on a le manga régulier (Vampire Reign), une série de light novel sur Guren Ichinose qui se passe avant le manga (La Catastrophe de ses 16 ans), maintenant Kagami continue sur Guren avec une nouvelle série de LN (Resurrection at Nineteen), on a aussi eu les deux LN Vampire Michaela… Et La Catastrophe a été adaptée en manga. Bref, l’éditeur le fait bosser à mort !

    Pour ma part, je peux toujours pas encadrer Guren donc les LN me sont un peu difficiles, les traductions de Kana n’aidant pas. Je buggue toujours autant sur Michaela traduit en « Mikael », les phrases de Yû-chan « Kazoku da » (« c’est ma famille ») traduite en « c’est un membre de ma famille » (« un membre », ça a beaucoup moins d’impact) ou carrément « il est comme mon frère » (SOS homophobie, à l’aide !!!! Mika n’a jamais été le frère de Yû, et il ne le sera jamais. Son mari, par contre, on l’espère tous ^^).

    Oui, parce qu’OwaSera est probablement la première série du Jump avec un héros garçon, amoureux d’un autre garçon… Et c’est réciproque. Ça me réjouit, et en même temps ça me coûte d’écrire ça, parce qu’on est en 2021. Ça devrait être banal. En tout cas, Kagami fait un travail remarquable, aussi j’espère que l’éditeur ne viendra jamais lui faucher l’herbe sous le pied. Il a vraiment bâti une relation magnifique entre Yû et Mika, tout au long de ses chapitres. Vous remarquerez que je n’écris pas « C’est la première série du Jump avec deux héros homosexuels » parce que je trouve le mot hyper réducteur. Pour rappel, ce terme a été inventé au XIXe siècle, dans une société extrêmement homophobe, pour décrire un « trouble psychiatrique ». En rapportant tout à la dimension « sexuelle », il nie toute la dimension affective. Or c’est précisément ce que s’est efforcé de construire l’auteur, une relation affective profonde, qui prend racine dès l’enfance et se poursuit maintenant, à l’adolescence. Hélas, nos pauvres héros sont pris dans un gigantesque bazar post-apocalyptique, des combats qui les dépassent. Ils souffrent beaucoup. Ils n’ont guère le temps de vivre ou d’analyser leurs sentiments, ils ont autre chose à faire… Mais on entrevoit malgré tout un attachement sans faille, une tendresse super touchante. Absolument tous les lecteurs, je pense, sont arrivés au stade où ils veulent voir enfin Yû et Mika heureux… C’est-à-dire, ensemble. C’est peut-être ce qui convaincra les éditeurs du Jump de leur donner leur happy end. Et c’est par le biais de l’émotion et de l’empathie que Kagami parviendra, peut-être, à faire évoluer bien des mentalités.

    La fandom Twitter rigole souvent en mode « Je lis le manga pour l’intrigue… L’intrigue = MikaYuu ». 😆
    Je suis pareille, mais il faut souligner que c’est hyper injuste. La pléthore de personnages, l’univers hyper complexe et plein de mystères prête à mille et uns pronostics et analyses. C’est aussi ce que j’adore dans ce titre : on peut on parler pendant des heures et des heures, fouiller le passé d’untel et untel, chercher à comprendre pourquoi les démons, les vampires, les séraphins, Shikama-Doji, la Grèce antique ?!
    C’est énorme.

    J’ignore pourquoi le titre est autant sous-côté en France. Ils ont mis l’anime sur Netflix, en mai, il me semble. La série s’arrête juste avant les révélations essentielles, mais bon. ^^°

    Vivement le chapitre 106, le 2 septembre, à 17h ! 😆

    (Je veux savoir pour l’œil !!! Et pourquoi Shika a viré Lest Karr T_T – et c’était quoi d’abord, cette cérémonie super louche ??! Le chapitre 108 sera-t-il une dinguerie, parce que 108 = Hyakuya ??! Kyaaaaa !!!)

    Akiko_12
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    Akiko_12 le #527674

    [Déterrage intempestif de topic]

    Dans la catégorie « je suis la seule à suivre », j’aimerais dire un mot d’Owari no Seraph. C’est juste ma passion n°1 depuis quoi, six ans ? Chaque mois, j’attends avec impatience la scanlation en anglais de la Shueisha (sur le site Mangaplus, une mine d’or). Je compte même les heures parfois, c’est terrible. Heureusement que je fais ça uniquement pour ce titre, sinon je deviendrais folle ! 😆

    L’univers bâti par Kagami est assez titanesque. Rendez-vous compte : on a le manga régulier (Vampire Reign), une série de light novel sur Guren Ichinose qui se passe avant le manga (La Catastrophe de ses 16 ans), maintenant Kagami continue sur Guren avec une nouvelle série de LN (Resurrection at Nineteen), on a aussi eu les deux LN Vampire Michaela… Et La Catastrophe a été adaptée en manga. Bref, l’éditeur le fait bosser à mort !

    Pour ma part, je peux toujours pas encadrer Guren donc les LN me sont un peu difficiles, les traductions de Kana n’aidant pas. Je buggue toujours autant sur Michaela traduit en « Mikael », les phrases de Yû-chan « Kazoku da » (« c’est ma famille ») traduite en « c’est un membre de ma famille » (« un membre », ça a beaucoup moins d’impact) ou carrément « il est comme mon frère » (SOS homophobie, à l’aide !!!! Mika n’a jamais été le frère de Yû, et il ne le sera jamais. Son mari, par contre, on l’espère tous ^^).

    Oui, parce qu’OwaSera est probablement la première série du Jump avec un héros garçon, amoureux d’un autre garçon… Et c’est réciproque. Ça me réjouit, et en même temps ça me coûte d’écrire ça, parce qu’on est en 2021. Ça devrait être banal. En tout cas, Kagami fait un travail remarquable, aussi j’espère que l’éditeur ne viendra jamais lui faucher l’herbe sous le pied. Il a vraiment bâti une relation magnifique entre Yû et Mika, tout au long de ses chapitres. Vous remarquerez que je n’écris pas « C’est la première série du Jump avec deux héros homosexuels » parce que je trouve le mot hyper réducteur. Pour rappel, ce terme a été inventé au XIXe siècle, dans une société extrêmement homophobe, pour décrire un « trouble psychiatrique ». En rapportant tout à la dimension « sexuelle », il nie toute la dimension affective. Or c’est précisément ce que s’est efforcé de construire l’auteur, une relation affective profonde, qui prend racine dès l’enfance et se poursuit maintenant, à l’adolescence. Hélas, nos pauvres héros sont pris dans un gigantesque bazar post-apocalyptique, des combats qui les dépassent. Ils souffrent beaucoup. Ils n’ont guère le temps de vivre ou d’analyser leurs sentiments, ils ont autre chose à faire… Mais on entrevoit malgré tout un attachement sans faille, une tendresse super touchante. Absolument tous les lecteurs, je pense, sont arrivés au stade où ils veulent voir enfin Yû et Mika heureux… C’est-à-dire, ensemble. C’est peut-être ce qui convaincra les éditeurs du Jump de leur donner leur happy end. Et c’est par le biais de l’émotion et de l’empathie que Kagami parviendra, peut-être, à faire évoluer bien des mentalités.

    La fandom Twitter rigole souvent en mode « Je lis le manga pour l’intrigue… L’intrigue = MikaYuu ». 😆
    Je suis pareille, mais il faut souligner que c’est hyper injuste. La pléthore de personnages, l’univers hyper complexe et plein de mystères prête à mille et uns pronostics et analyses. C’est aussi ce que j’adore dans ce titre : on peut on parler pendant des heures et des heures, fouiller le passé d’untel et untel, chercher à comprendre pourquoi les démons, les vampires, les séraphins, Shikama-Doji, la Grèce antique ?!
    C’est énorme.

    J’ignore pourquoi le titre est autant sous-côté en France. Ils ont mis l’anime sur Netflix, en mai, il me semble. La série s’arrête juste avant les révélations essentielles, mais bon. ^^°

    Vivement le chapitre 106, le 2 septembre, à 17h ! 😆

    (Je veux savoir pour l’œil !!! Et pourquoi Shika a viré Lest Karr T_T – et c’était quoi d’abord, cette cérémonie super louche ??! Le chapitre 108 sera-t-il une dinguerie, parce que 108 = Hyakuya ??! Kyaaaaa !!!)

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